Jannik Sinner et l’Open d’Australie : la confiance ne fait pas défaut

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« Quand je me lève chaque matin, j’essaie de m’améliorer dans tous les domaines. »

Arrivé en Australie bien avant l’Open d’Australie – l’Azzurro participera au tournoi ATP 250 d’Adélaïde, qui débute le 1er janvier – Jannik Sinner est plein de bonnes intentions avant le premier Chelem de l’année.

Interviewé par le site officiel de l’Open d’Australie, qui a publié ses propos sur sa chaîne Instagram, le joueur du Tyrol du Sud a évoqué ses espoirs pour le tournoi sur ciment de Melbourne, qui débutera le 16 janvier et se terminera le 29 du même mois.

« Je veux gagner. Pour moi, c’est la première chose. Mais d’abord, tu dois apprendre en perdant. Mes débuts en Australie n’ont pas été faciles. Il y a toujours de nouveaux défis. Il y a beaucoup de travail à faire, bien sûr. Lorsque je me lève chaque matin, j’essaie de m’améliorer dans tous les aspects de mon jeu », a-t-il commencé. « En 2022, j’ai fait un bon début, en atteignant les quarts de finale à Melbourne, alors j’espère répéter l’expérience et prendre un bon départ la saison prochaine également, nous verrons. J’espère que ce sera une année pleine de satisfaction », a-t-il conclu.

Bien qu’ayant obtenu d’excellents résultats en ski dans son enfance, Jannik décide à l’âge de 13 ans de se consacrer exclusivement au tennis, en s’installant à Bordighera, sur le court de Riccardo Piatti. Un choix qui s’est avéré gagnant, puisque Sinner est le plus jeune joueur de tennis italien à entrer dans le top 100 (octobre 2019) et à remporter un titre ATP dans l’ère Open (Sofia 2020). En outre, avec Matteo Berrettini, Jannik est le seul joueur de tennis italien à avoir atteint au moins les huitièmes de finale des quatre tournois du Grand Chelem. En 2022, c’est un tournant pour lui : il quitte Piatti pour s’en remettre à Vagnozzi.

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