Adieu à John Fultz, le souvenir émouvant de Giorgio Bonaga
Bonaga rappelle Fultz
Giorgio Bonaga, pour BasketVISION d’Enrico Campana, journaliste-institutionnel en ce qui concerne le basket, mais pas seulement, s’est souvenu de John Fultz.
Dans l’histoire de Virtus Bologna, s’il n’a pas été le plus populaire et le plus célèbre, John Fultz fait néanmoins partie des trois meilleurs. Avec la ceinture, il est devenu Kociss pour tout le monde, aussi parce qu’il avait vraiment une grand-mère Navajo. Il était comme mon frère, un peu plus jeune, bizarre et ingérable. Il est devenu hippie à l’âge de 18 ans, en 1966, aux États-Unis, et il l’est resté jusqu’à aujourd’hui, le jour de sa mort, ici à Bologne. Au revoir John, s’ils te laissent jouer au basket, là-haut, là-bas ou entre les deux, là où tu es maintenant, tu en divertiras beaucoup d’autres. Je t’embrasse ».