Finales VNL, Fefè De Giorgi charge Italvolley

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Les mots de De Giorgi

L’Italie a tenu sa première séance d’entraînement sur le sol polonais ce matin à l’Atlas Arena de Lodz avant le quart de finale de la Volleyball Nations League contre la France vendredi à 17 heures. Tout juste sorti de la troisième semaine de la VNL, le groupe, composé de 14 des 16 présents à Ljubljana, est arrivé à Varsovie hier en fin d’après-midi par un vol direct de Ljubljana avant de se rendre à Lodz, lieu de la phase finale. L’Italie, qui a terminé la phase préliminaire en troisième position avec neuf victoires et 27 points, rencontrera pour la deuxième fois en VNL la France d’Andrea Giani, une équipe qu’elle a rencontrée 150 fois et qu’elle a battue 79 fois.

Les choix de De Giorgi pour la phase finale se sont portés sur le groupe présent à Ljubljana, se privant de Falaschi et Cortesia. 24 athlètes sont impliqués dans cette Volleyball Nations League sur les 30 de la liste initiale, tous cependant impliqués dans le long travail effectué à Cavalese, avec le concept d’un grand groupe italien à la base du projet de l’entraîneur Fef&egravegrave ; De Giorgi qui voulait présenter les Finales à Lodz de cette façon.

Nous arrivons en Pologne avec le groupe qui a joué en troisième semaine à Ljubljana et nous arrivons là-bas avec le plaisir de jouer, de faire partie de cette finale de la VNL, de pouvoir jouer un quart de finale qui sera certainement très exigeant mais avec le goût, vraiment la satisfaction de donner le meilleur de nous-mêmes. Je crois que le groupe qui a joué à Ljubljana peut certainement avoir appris quelque chose des matches contre des équipes qui étaient un peu plus difficiles, et nous garderons précieusement ce que nous avons fait là-bas afin de pouvoir exprimer et jouer toutes nos possibilités. C’est un jeu sec, donc je pense qu’il est important de l’aborder avec le bon état d’esprit et, bien sûr, d’y mettre de la technique. Il ne s’agit pas d’une expérience dans le sens où ce que nous faisons fait partie d’un projet qui a commencé en 2021, qui faisait partie d’un chemin qui cherche certes des résultats, mais qui cherche aussi la croissance, qui cherche des opportunités ; Cette finale jouée avec cette équipe fait donc partie d’un projet qui a été possible parce qu’au début de cette VNL, j’ai dû demander à de nombreux joueurs, qui avaient déjà participé à la saison 2021 de l’Azzurri, de prendre part à la finale ; J’ai dû demander à de nombreux joueurs, qui étaient déjà occupés depuis la saison Azzurri de l’année dernière, qui a duré cinq mois, plus tout le championnat, plus les coupes, de faire un effort pour se qualifier, et je pense qu’en fin de compte, cela nous a été utile pour donner un petit coup de pouce à la performance de l’équipe ; donner du repos à ces joueurs qui n’ont pas arrêté depuis un an, leur donner une bonne préparation physique et en même temps continuer notre projet avec des athlètes dont quelqu’un fera partie de l’équipe olympique. Jouer de vrais matchs, des matchs difficiles, même si vous avez 20 ans, est quelque chose qui devient pour nous et pour moi un investissement dans ce que nous allons faire aux Jeux olympiques. Dans ces finales, les favoris sont toujours plus ou moins les mêmes. Sans aucun doute la Pologne, qui a la possibilité, avec l’effectif dont elle dispose, en particulier dans ces épreuves de longue durée, de gérer autant de joueurs sans perdre en qualité. Cependant, je pense qu’il y a beaucoup d’équipes qui peuvent viser haut. Les quarts sont toujours le passage difficile pour tout le monde, si vous passez les quarts alors vous jouez pour les médailles et donc je pense que ce seront des matchs difficiles pour tout le monde.

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