Simone Anzani accuse Italvolley d’avoir défié l’Ukraine dans les deux sens

Le central azzurro poursuit : Le match de demain représente notre » huitième de finale « , ce sera un match intérieur ou extérieur, nous savons que nous pouvons subir une défaite comme celle d’hier parce que c’est une équipe avec des joueurs de valeur qui jouent à un haut niveau depuis de nombreuses années. Peut-être n’avons-nous pas abordé le match de la meilleure façon et, comme je l’ai dit à maintes reprises, dans le volley-ball masculin d’aujourd’hui, il n’y a plus de matchs faciles ou de matchs trop difficiles, si vous ne jouez pas avec attention et avec un niveau technique élevé et constant, vous risquez de perdre et c’est ce qui nous est arrivé hier. A un moment donné, nous avons réussi à amortir la situation difficile, mais en général, il y a matière à réflexion, mais en même temps, nous sommes conscients de nos forces et de ce qu’il faut faire demain pour passer la phase de groupe. » La vice-capitaine est une femme qui a fait preuve d’un grand sens de l’humour et de l’humour.
Le vice-capitaine conclut ensuite : » Ma sensation, c’est qu’on ne s’attendait peut-être pas à une Belgique aussi agressive et capable de faire une grande phase défensive ; ils ont vraiment été bons pour toucher autant de ballons, entrer dans toutes les zones du terrain, gagner autant d’actions longues et cela nous a un peu impressionnés et déstabilisés. Nous sommes un sport technique, quand les choses ne vont pas bien, il faut améliorer cet aspect et nous ne l’avons pas fait ; cela nous a mis en difficulté ; nous sommes grands, grands et vaccinés pour savoir comment réagir à une défaite ; chacun d’entre nous va analyser ses propres aspects et ensuite aller sur le terrain demain pour ramener la victoire à la maison et passer le tour. » .