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Adriano Panatta révèle ce que Nicola Pietrangeli pensait vraiment de Jannik Sinner

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Adriano Panatta est revenu sur Nicola Pietrangeli, la légende du tennis italien décédée lundi à l’âge de 92 ans. Je risquerais de faire injure à Nicola si je disais simplement que j&#8217ai perdu un ami », a déclaré Panatta, qui a raconté sa relation avec l&#8217icône du sport italien dans un long article paru dans le Corriere della Sera. Tout au long des nombreuses histoires communes que j’ai pu raconter, des innombrables fois où nous nous sommes retrouvés du même côté de la barrière ou, au contraire, aux pôles opposés d’une controverse, l’amitié n’a jamais failli, un lien à sa manière curieuse, mais unique et indestructible&#8221 ;.

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En marge d’un événement, Panatta a lâché : "Je n’en peux plus. On m’arrête dans la rue pour me demander comment va Sinner"
"Mais pourquoi devrais-je savoir comment va Sinner?"
"Le moment historique d’aujourd’hui ne peut être comparé à celui des 'années 70"

"Les paramètres et les priorités des joueurs ont changé"

"A sa place j’aurais joué mais je ne suis pas contre sa décision car aujourd’hui les conditions sont complètement différentes"

"C'est une équipe autour qui le conseille, quand j’ai joué j’ai tout fait tout seul"

"Aujourd’hui on ne voit jamais les joueurs, seulement sur le terrain ou en conférence de presse"
"Pour moi, c’était mieux avant, maintenant tout est exagéré. Pour le calendrier aussi, les joueurs peuvent décider des tournois auxquels ils participent"

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