Carlos Alcaraz-Juan Carlos Ferrero, le contexte du « divorce » alimente une nouvelle controverse

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Le contrat entre les parties était renouvelé chaque année, mais cette fois-ci, quelque chose s’est mis en travers. Le nouvel accord, qui aurait dû arriver à la fin du mois de novembre, n’a été présenté à l’entraîneur de Valence que le 13 décembre, avec une demande de signature pour le lundi suivant. Deux jours pour évaluer un contrat qui, selon des sources proches de l’ancien numéro 1 de l’ATP, ne tenait pas compte des exigences formulées par l’entraîneur lui-même. La contre-proposition a été rejetée sans aucune marge de négociation : à ce moment-là, la rupture devenait inévitable et aucune des deux parties ne montrait une réelle volonté de continuer dans les conditions proposées.

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Les coulisses les plus significatives concernent cependant la détérioration des relations entre Ferrero et le père d’Alcaraz, Carlos senior, personnage central dans la gestion du champion né en 2003. Un fossé qui se serait creusé au fil du temps, au point de rendre impossible une cohabitation professionnelle sereine. D’où la décision de se séparer, malgré les résultats extraordinaires obtenus ensemble. Ferrero, disent les sources citées par le magazine spécialisé, n’a pas l’intention de se lancer immédiatement dans une nouvelle aventure : il fera une pause d’une durée indéterminée, avant d’évaluer d’éventuelles nouvelles propositions.

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Pour envenimer le tableau, Toni Nadal a fait part de son étonnement face à cette décision au micro de Radioestadio Noche : “J’ai été surpris, surtout après une saison aussi positive. La logique était de continuer. Alcaraz termine l’année en tant que numéro un et cela arrive. Je comprends que la décision appartient à Carlos, parce que Ferrero a dit qu’il voulait rester. Je suppose donc que ce n’est pas un choix lié au tennis&#8221 ;

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