Flamme olympique dans les Pouilles, Carlo Calcagni n’est pas impliqué : "Choix que je ne comprends pas" ;

. Même si je suis un homme d’affaires, je ne suis pas un homme d’affaires, mais un homme d’affaires. “Malgré une vie entièrement dédiée au sport, vécue, pratiquée, enseignée et témoignée depuis plus de cinquante ans, je ne participerai pas, en effet, au relais de la flamme olympique, pas même sur mon territoire, sur ma terre », a-t-il ajouté. « Un choix que je ne comprends pas, peut-être, je le répète, parce que je ne connais pas les raisons d’une évaluation, les raisons d’une sélection. Ce que je sais, en revanche, c’est que des personnes qui ont pratiqué et pratiquent le sport, dans sa dimension la plus profonde et la plus exclusive, moins que moi, ont été impliquées, comme dans d’autres circonstances. “Il n’y a pas d’amertume dans ces mots, mais en réalité seulement l’extériorisation d’une réflexion sincère, le besoin d’une explosion qui, si elle est gardée silencieuse, lacère le cœur et égratigne encore plus l’âme », a-t-il poursuivi, « parce que le sport n’est pas seulement une question d’image, ni une occasion de visibilité : c’est le sacrifice quotidien, la discipline, le respect des règles, la capacité de se relever après chaque chute. C’est ce qui m’a permis de continuer à vivre, d’affronter la maladie, de transformer la souffrance en force et en témoignage. C’est ce qui m’a permis de représenter dignement l’Italie dans le monde, en tant qu’athlète et en tant qu’homme. . Calcagni.
<Être exclu d'un moment aussi symbolique ne signifie pas être exclu des valeurs que la flamme olympique représente - parce que ces valeurs m'ont toujours appartenu, et m'appartiendront toujours et pour toujours, dans mon essence la plus intime, la plus authentique, la plus profonde. Ces valeurs continuent à vivre en moi et en ceux qui les pratiquent avec la même détermination, la même ténacité inébranlable et le même sens profond du sacrifice chaque jour, même et surtout loin des projecteurs”;
