Luciano Spalletti : attaque sévère contre Aurelio De Laurentiis
Luciano Spalletti : attaque sévère contre Aurelio De Laurentiis
Le sélectionneur italien Luciano Spalletti s’est livré à une attaque cinglante contre le président de Naples, Aurelio De Laurentiis, qui n’a pas manqué de le tancer à plusieurs reprises depuis son départ l’été dernier. De Laurentiis a dit que je lui avais fait perdre 100 millions ? Quel De Laurentiis a parlé ? " ;, è ; la réponse ironique de l’entraîneur des Azzurri.
Il y en a 4-5 dans le coin, et je ne parle pas des enfants… Il y a celui qui est reconnaissant, celui qui est mélancolique, celui qui est rancunier, celui qui est arriéré. Je lui souhaite de réussir la Coupe du monde des clubs, qui garantit des revenus énormes, et je suis également présent dans le classement du Napoli.
Spalletti a également parlé de l’équipe nationale et n’a pas été tendre avec certains Azzurri : « Certains joueurs ont dû croire que Spalletti aboie et n’a pas de dents, mais ils se trompent et maintenant il y a des choses qui doivent être clarifiées. A partir de maintenant, ils laissent leurs Playstations à la maison et ne les apportent plus. J’invente un petit jeu auquel ils doivent penser pour les distraire la nuit. Ils viennent me voir et je leur donne des devoirs à faire le soir si ceux de la journée n’ont pas suffi. Parce qu’en équipe nationale, on reste sur le ballon, on est concentré, on ne fait pas n’importe quoi. Je répète le slogan des All Blacks, “No dickheads here" ;.
Je veux faire revivre les rassemblements et les retraites d’antan : de vieilles habitudes et de vieilles ambiances. Des choses simples et saines. Et Buffon m’y aidera. Si la modernité consiste à jouer à la Playstation jusqu’à 4 heures du matin alors qu’il y a un match le lendemain, alors cette modernité n’est pas bonne. Nous vivons dans un monde qui n’incite pas à travailler dur, à transpirer : les enfants d’aujourd’hui préfèrent mettre une photo sur Instagram avec leur coiffure plutôt que de baisser la tête et de pédaler. Ce ne sont pas les valeurs que mon Italie doit transmettre" ;.