A Misano, Pecco Bagnaia sourit après le cauchemar : « La direction est la bonne » ;

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Pecco Bagnaia a vécu à Misano un nouveau week-end cauchemardesque, un nouveau rendez-vous arc-en-ciel pour oublier une année 2025 qui représente pour lui un calvaire sans solution. Le Grand Prix de Saint-Marin a vu samedi la victoire de la Course Sprint de son compatriote Marco Bezzecchi sur une Aprilia, dimanche le neuvième succès de son coéquipier en Ducati, Marc Marquez. Au lieu de cela, le pilote piémontais a dû accepter une récolte de 0 point, reportant toute discussion à la journée d’essais de lundi. A la fin de laquelle il a encore choisi de faire profil bas.

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Curieux de constater que Bagnaia, bien qu’il ait confirmé la huitième place des qualifications pour le Grand Prix de Saint-Marin, a réussi à tourner même une seconde plus vite le lundi que le dimanche. Et après le long sommet qu’il a eu avec les techniciens et ingénieurs Ducati déjà après la course de Misano, lundi il semblait quelque peu rafraîchi sans vouloir trop s’exposer. Je ne peux rien dire de trop spécifique &#8211 ; a-t-il expliqué à la presse présente sur le circuit de Romagne – en tout cas, aujourd’hui, il était important de ne pas essayer de nouvelles pièces, mais de rester concentré sur ce que nous avons &#8212 ;

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La saison 2025 de Bagnaia s’avère être un véritable calvaire, avec des performances qui contrastent fortement avec ses triomphes arc-en-ciel de 2022 et 2023. Cette année, le Piémontais n’a remporté qu’une seule victoire, le dimanche au Grand Prix des Amériques à Austin, complétant le podium avec une deuxième place et cinq troisièmes places. Son dernier podium remonte au Sachsenring, en Allemagne, il y a deux mois, signe évident d’une crise technique et de performance qui ne semble pas trouver de solution.

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exprimé publiquement sa frustration : “Aujourd’hui a été une répétition de ce qui s’est passé pendant le reste de l’année. Je me suis battu en donnant tout ce que j’avais et à la fin je termine huitième à 12 secondes. J’espère recevoir une explication, je perds patience&#8221 ;. La réponse du directeur général Gigi Dall’Igna”avait souligné que même chez Ducati, ils reconnaissent l’aspect psychologique de la crise : “Quand les choses commencent à aller mal, tout finit par aller mal et il est difficile de trouver un point de départ pour recommencer&#8221 ; »

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