Lewis Hamilton voit quelque chose de bon, mais à Bakou, les statistiques sont triplement négatives.

Lewis Hamilton a vécu un nouveau week-end à oublier à Bakou, dans sa première saison au volant de Ferrari qui continue d’être caractérisée par une longue série de déceptions. Ejecté de la Q1 samedi et contraint de prendre le départ du Grand Prix d’Azerbaïdjan en 12e position, le Britannique a ensuite terminé la course en 8e position devant son coéquipier Charles Leclerc, une vive polémique s’ensuivant sur la gestion des positions entre les deux. Comme si cela ne suffisait pas, son dimanche azerbaïdjanais a été marqué par trois statistiques et déclarations très négatives qui n’ont pas permis de jeter de l’eau sur le feu. La course de Sainz a été un véritable succès. Ce dernier est le résultat des propres problèmes de l’équipe. .
Le week-end magique de Sainz se traduit par un autre détail non négligeable. L’Espagnol a offert à lui seul 15 points à Williams, alors qu’à Bakou, ses anciennes écuries McLaren et Ferrari n’en ont récolté que 12, en comptant les contributions de leurs quatre pilotes. Un résultat dû à l’abandon d’Oscar Piastri, à la course anonyme de Lando Norris, mais aussi aux problèmes de Leclerc et Hamilton