La Roma souffre, bat Salerno et s’envole vers la cinquième place

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Seconde victoire consécutive pour Daniele De Rossi

Au stade Arechi, le dernier match de la 22e journée de Serie A s’est soldé par une victoire à l’arraché de la Roma, qui s’est imposée 1-2 face à Salernitana, offrant à Daniele De Rossi sa deuxième victoire consécutive.

La première occasion est venue pour les hôtes à la 13e minute : la contre-volée de Candreva a trouvé une bonne réponse de Rui Patricio. Dix minutes plus tard, l’ancien joueur de la Lazio se montrait à nouveau dangereux avec une frappe en pivot qui passait juste au-dessus de la barre transversale. Malgré le forcing de la Roma, la Salernitana parvenait à se créer trois autres occasions par Bradaric, Tchaouna et Simy, toutes trois neutralisées par le défenseur portugais.

En début de seconde période, la Roma, après une mauvaise première mi-temps, a réussi à prendre l’avantage à la 50e minute : les Giallorossi ont obtenu un penalty pour une faute de main de Maggiore. Après le contrôle du Var, Dybala s’est avancé jusqu’au point de penalty, qu’Ochoa a expédié avec précision. Les hommes de Daniele De Rossi doublaient la mise à la 66e minute : la « Joya » servait Karsdorp, qui remettait le ballon et trouvait Pellegrini au second poteau, qui marquait d’une claquette facile. La double avance des Giallorossi ne durait cependant que quatre minutes, puisque Kastanos, aidé par Tchaouna, ouvrait le score d’une tête précise.

Après une série de remplacements, Salernitana a tenté un dernier forcing et a réussi à trouver une excellente occasion dans les dernières minutes par Ikwuemesi, dont la tête a été bloquée par Rui Patricio, qui a donné aux Capitolins trois points clés dans leur lutte pour la Ligue des Champions.

Avec ce succès, la Roma se hisse à la cinquième place du classement avec 35 points, tandis que Salernitana reste à la dernière place avec 12 points. Lors de la prochaine journée, les Giallorossi affronteront le Cagliari de Claudio Ranieri, tandis que la Campanie sera opposée au Torino d’Ivan Juric.

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