Du rêve au cauchemar… puis au miracle : l’Inter en finale de la Ligue des champions, Barcelone battu en prolongation

Après que Yamal a failli surprendre Ferran Torres dans la surface 20 secondes après le coup d’envoi, l’Inter a immédiatement changé de vitesse et s’est installé dans la moitié de terrain adverse : le premier fruit de la pression des Nerazzurri est intervenu à la 21e minute, lorsque Dimarco a récupéré le ballon dans la zone des trois-quarts et a servi Dumfries, qui a attiré Szczesny et l’a transmis à Lautaro Martinez, qui a fait l’arrêt avec son but non couvert.
L’Inter a ensuite été en mesure de récupérer le ballon au fond des filets.
À la fin de la première mi-temps, le doublé a eu lieu : Cubarsí est intervenu dans la surface sur Lautaro Martinez, l’arbitre Marciniak ne semblant d’abord pas vouloir accorder le penalty mais remarquant ensuite, après vérification sur la ligne de touche, le contact évident entre le pied du défenseur catalan et celui de l’attaquant argentin. Et’ ; entre-temps, il s’est écoulé 46 minutes, Calhanoglu est apparu au point de penalty et a expédié l’ex-gardien de la Juventus.
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La pause a fait beaucoup de bien au Barça, qui est revenu sur le terrain avec le même onze qu’en première mi-temps mais avec une attitude différente, et entre la 54e et la 60e minute, ils ont repris les deux buts de retard : Eric Garcia réduisait l’écart d’une volée sur un centre de Gerard Martin, tandis que Dani Olmo égalisait, toujours sur une passe de Gerard, sa tête ne laissant aucune chance à Sommer, qui, quelques minutes plus tôt, avait empêché le but par un splendide arrêt réflexe sur la fin de course de Garcia.
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Extrêmement remonté mentalement, l’Inter a pris ses adversaires à revers lors de la première mi-temps des prolongations et a pris l’avantage à la 9e minute : le mouvement insistant de Thuram a servi Taremi, l’Iranien (entré à la place de Lautaro en 71′ 😉 a servi d’aiguillon à Frattesi, dont la frappe du gauche a heurté Szczesny pour porter le score à 4-3. Pour l’ancien joueur de Sassuolo, également entré en jeu en seconde période (à la 79′ ; pour Mkhitaryan), le but du 4-3 était un autre but puissant, après la victoire 2-1 contre le Bayern à l’aller des quarts de finale. .