“L’Atalanta, bien sûr, est plus axée sur le développement des joueurs que sur la victoire. On part des qualités des jeunes à développer et moi, qui ai commencé dans les secteurs de la jeunesse, j’ai toujours travaillé avec des équipes qui basaient leur politique sur la jeunesse. Mais en Italie, on se trompe sur les pépinières, les clubs professionnels sont différents des amateurs car ils choisissent des garçons un cran au-dessus. Il n’y a donc pas de champions qui sortent et les premières équipes sont pleines d’étrangers. Par contre, à Barcelone, à part Yamal qui est un phénomène, les jeunes sont des garçons normaux, même physiquement. En Espagne, on respecte les caractéristiques d’un peuple méditerranéen en privilégiant la technique” ;.
.
“L’année dernière, je me suis retrouvé avec deux gardiens, le jeune Carnesecchi et Musso, qui était un investissement du club. Il y avait un risque de dualisme, mais ils ont su faire équipe chacun de leur côté et sont devenus amis. Musso n’avait pas trouvé d’équipe en janvier et est devenu le gardien de la coupe en remportant l’Europa League. Ils se sont rendus disponibles l’un pour l’autre et sont devenus des amis. Je n’ai aucun mérite, jusqu’en décembre je les avais alternés” ;.
.
.
.