Joao Felix-Milan, ce sera un adieu : l’avenir entre Benfica et l’Arabie Saoudite

L’aventure de Joao Felix sous le maillot milanais touche à sa fin. Arrivé cet été avec de grandes attentes et un prêt onéreux de 5 millions d’euros, le fantaisiste portugais n’a pas réussi à s’imposer comme espéré dans l’équipe de Coincecao. Après des débuts prometteurs, agrémentés d’une élégante cuillère contre la Roma, son rendement a progressivement décliné, laissant place aux doutes et à la perplexité.
Les joueurs de l’équipe de France ont été les premiers à s’exprimer sur le sujet.
Selon les informations, le Milan AC a décidé de ne pas renouveler l’accord avec Chelsea, propriétaire de la carte du joueur, qui devra désormais trouver un nouveau logement pour le talentueux joueur né en 1999. Deux voies principales se profilent à l’horizon : un retour romantique à Benfica ou un départ bon marché en Arabie saoudite.
L’AC Milan a décidé de ne pas renouveler l’accord avec Chelsea.
La piste la plus suggestive est sans doute celle qui mène à Lisbonne. Benfica, le club où Joao Felix a explosé lors de la saison 2018-19 avec 15 buts en 26 apparitions dans sa jeunesse, pourrait l’accueillir en prêt avec un droit de rachat. Un retour aux sources qui pourrait aussi représenter une opportunité de se relancer, loin de la pression d’un football qui semble l’avoir submergé, notamment après son transfert record à l’Atletico Madrid pour 126 millions d’euros.
Les joueurs de l’Atletico Madrid, qui ont été les premiers à s’engager dans la compétition, ont été les premiers à s’engager.
L’autre option est l’Arabie saoudite. Son agent, Jorge Mendes, explore cette possibilité, attiré par un marché économiquement attractif et un environnement moins critique et plus « protégé » que le football européen. Un contexte qui, pour un talent encore jeune mais désormais souvent évoqué, pourrait offrir une nouvelle motivation.
Jao Felix quittera l’AC Milan sans grands regrets de part et d’autre. Son expérience chez les Rossoneri n’aura été qu’une parenthèse terne, comme le soulignent des épisodes emblématiques, à l’image de la phrase de Kyle Walker en Ligue des champions : « Passez le ballon. On n’est pas Messi ! Une fin amère pour un talent encore à la recherche d’une véritable consécration.
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