Jannik Sinner a surtout surpris Carlos Alcaraz.
Les mots de Carlos Alcaraz
Carlos Alcaraz a parlé à La Gazzetta dello Sport de la curieuse statistique selon laquelle, sur ses sept défaites cette année, quatre sont survenues contre des joueurs de tennis italiens.
« D’abord Berrettini, puis Musetti et deux fois Sinner. Ce sont tous des joueurs très forts avec des caractéristiques complètement différentes. Ils m’ont vraiment donné du fil à retordre, même si dans certains cas, j’ai raté la victoire pour quelques petits détails. Sinner est certainement celui qui m’a le plus surpris. Contre Berrettini, je savais ce que j’affrontais, je connaissais son style, avec Musetti c’est pareil. Mais Jannik m’a surpris : par sa façon de se tenir sur le court et par le niveau d’agressivité qu’il parvient à exprimer dans chaque échange. Sur le terrain, nous nous battons les uns contre les autres, mais en dehors du terrain, nous sommes tous amis.
« A quel point je me sens proche de gagner un Slam ? C’est à peu près ça, car j’ai atteint les quarts. Jusqu’à présent, il m’a manqué quelque chose. Peut-être un peu d’expérience dans les matches de 3 sets sur 5, mais je ne suis pas loin d’y arriver. Je n’ai pas de préférence sur celui à gagner en premier… Je n’ai pas envie d’être pointilleux sur les titres du Chelem. »