La Fiorentina a battu Cagliari dans les derniers instants du match, pour la plus grande joie de Claudio Ranieri.

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Une fête pour tous, avec un final palpitant.

La Fiorentina a battu Cagliari à l’Unipol Domus, grâce à une victoire spectaculaire 3-2 qui a vu le tableau d’affichage changer jusqu’à la 13e minute du temps additionnel, avec trois buts sur cinq à partir de 85&#39 ;. Ce succès garantit à la Viola la certitude de participer au moins à la prochaine Ligue des Champions, mais ce match représente surtout les adieux de Claudio Ranieri à la Serie A dans un défi entre deux des équipes auxquelles sa longue carrière peut être attribuée.

Le match à Cagliari commence même en retard en raison des nombreux hommages rendus à Ranieri par le public, mais aussi par une équipe de la Fiorentina qui n’a pas oublié sa gestion au milieu des années 1990 (les années de Batistuta, Rui Costa, Oliveira et surtout la Coppa Italia 1996). Ensuite, ils ont joué au football : la Viola a essayé d’un côté et Belotti de l’autre, puis les rouges et noirs ont grandi. Terracciano &egrave ; providentiel sur Deiola, Luvumbo et encore Deiola. Puis le but est arrivé, mais il a été marqué par les visiteurs : grâce à une frappe du gauche de Bonaventura à la 39e minute sur une passe décisive de Castrovilli.

En seconde période, Cagliari a voulu donner au moins un point à son entraîneur pour sa passe d’adieu : Deiola a d’abord tenté une tête sur un corner de la Viola, mais a manqué le but de peu, puis à la 65e a trouvé la lucarne droite sur une action splendide de Prati et a égalisé. La nuit magique de Ranieri pouvait même devenir parfaite à la 85'85 ;, lorsque Mutandwa a récupéré le ballon de Nandez et, avec un splendide tir du pied droit, a enveloppé le dépassement.

La Fiorentina avait besoin de points pour être certaine de rester en Europe. C’est ainsi qu’à la 89e minute, Nico Gonzalez s’infiltre dans le coup franc de Biraghi et trouve un nouveau but égalisateur. Et ce n’est pas fini : à la fin d’une pause rendue interminable par les nombreux arrêts de jeu, Var accorde un penalty à la Viola pour une faute de Di Pardo sur Beltran. Arthur ne rate pas son tir et les visiteurs l’emportent à la 103e minute. Mais à Cagliari, c’était quand même une soirée de fête pour tout le monde.

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