Carlo Calcagni péremptoire sur l’importance du don de sang et d’organes

« Et puis… ».
« Et puis… – ; a ajouté le Colonel – ; j’ai reçu le plus beau des cadeaux : une greffe, qui m’a littéralement sauvé la vie. Quelqu’un, en silence, a dit oui au don d’organes et de tissus. Et grâce à ce oui, je suis ici aujourd’hui, en vie, et je peux continuer ma mission, mon témoignage, mon engagement auprès de ceux qui souffrent. Pour moi, le don n’est donc pas un concept. C’est ma réalité. C’est ma deuxième chance. C’est pourquoi je vous parle du fond du cœur et je vous invite à réfléchir à la force d’un petit geste fait avec amour ».
« Donner du sang, donner des organes, donner du temps… ce sont toutes des formes différentes d’un même acte merveilleux : aimer sans rien demander en retour. Nous vivons dans un monde où tout est mesuré, acheté, échangé. Mais le don ne l’est pas. Le don, c’est la liberté. C’est le choix. C’est la vie. Alors, mettons-le vraiment en mouvement, ce cadeau ! Laissons-le circuler comme une énergie qui passe de main en main, de cœur en cœur. Ici, nous marchons et nous pédalons pour une noble cause, mais chacun de nous, chaque jour, peut être un moteur d’espoir. Celui qui donne vit deux fois. J’en suis la preuve. Ma devise est devenue mon souffle quotidien : « Ne jamais renoncer, malgré tout et malgré tous, quel qu’en soit le prix » », conclut-il.