La Roma, ce n’est pas seulement Claudio Ranieri : un autre ancien débutant est en train de monter en puissance
Roma, de nouveau à la mode pour Rudi Garcia
Après la lourde défaite à domicile contre Bologne, la Roma a officiellement décidé de relever de ses fonctions l’entraîneur Ivan Juric, qui quitte le banc des Giallorossi après seulement 12 journées, avec quatre victoires, trois nuls et cinq défaites entre le championnat et l’Europa League. La direction de la Roma, de son côté, s’active déjà pour trouver un remplaçant afin de tenter de résoudre cette situation chaotique.
Selon les informations d' »Il Corriere dello Sport », le principal candidat pour remplacer Ivan Juric serait Roberto Mancini, qui serait déjà prêt à retourner sur le banc après avoir mis fin à son aventure en tant que sélectionneur de l’Arabie Saoudite. Cependant, ces dernières heures, le nom de Rudi Garcia, qui a entraîné la Roma de 2013 à 2016, a considérablement augmenté.
Les profils de Claudio Ranieri et Frank Lampard restent également en lice, mais de manière atténuée. Le premier pourrait décider de retourner sur le banc jusqu’à la fin de la saison, puis prendre le rôle de directeur technique à partir de 2026, tandis que le second pourrait être embauché en raison de sa proximité avec les Friedkins.
En conclusion, les chances d’arrivée de Massimiliano Allegri seraient très faibles, car il ne serait prêt à considérer le banc des Giallorossi qu’à partir du mois de juin.
A la fin du match contre Bologne, le directeur général des Giallorossi, Florent Ghisolfi, a parlé franchement de la situation à la Roma : » Juric a donné le meilleur de lui-même. Nous allons prendre quelques jours pour réfléchir. Le moment est compliqué, nous devons tous prendre nos responsabilités. Nous nous excusons auprès des supporters qui souffrent. Les Friedkin vont continuer à investir dans la Roma, l’objectif est de gagner, ils travaillent pour structurer le club de la meilleure façon possible. Je n’aime pas le mot transition et nous devons revenir à la performance immédiatement. La direction a estimé que le meilleur moment pour changer était après Bologne, afin que le nouvel entraîneur puisse profiter de la pause de l’équipe nationale pour apprendre à connaître les nouveaux joueurs.